DRAMAS CORÉENS : BILAN DU SECOND SEMESTRE 2018

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Une nouvelle année pleine de dramas coréens s’achève, et je m’étonnerai toujours d’avoir trouvé le temps d’en regarder autant, sans trop sacrifier ma vie personnelle et professionnelle, la gestion du site web… et mes huit heures de sommeil ^^. J’ai quand même un peu ralenti la cadence au deuxième semestre, mais c’est surtout parce que certains kdramas ne m’ont pas trop inspirés. Et si on faisait le point sur mes tops et mes flops de cette seconde moitié 2018 ?

Mes top dramas

Quand je dis « top », je me comprends. Ils ne sont pas tous comparables (selon moi). Mais disons que ce sont tous les dramas que j’ai pu visionner en intégralité et avec beaucoup de plaisir. Je les classe ici par ordre de préférence.

Thirty but Seventeen (aka Still 17)

Préparez vos mouchoirs, et pensez à acheter plusieurs paquets ! C’est la première rom-com feel-good qui m’ait fait autant pleuré. On part d’un postulat de départ dramatique : un grave accident de bus qui ôte la vie à plusieurs personnes et plonge notre jeune héroïne de dix-sept ans dans un coma qui va en durer treize. De l’autre côté, un héros du même âge, psychologiquement dévasté, qui pense être responsable de la mort de la jeune fille dont il était secrètement amoureux. Sauf qu’il ne sait pas que sa dulcinée n’est pas morte dans l’accident, et qu’elle n’est autre que la jeune femme qu’il accueille chez lui, à la suite d’une série de quiproquos. Sa belle s’est en effet réveillée de son long coma. Elle n’a plus aucun repère, et son monde s’est écroulé. Elle a trente ans désormais, et elle va devoir réapprendre à vivre autrement. Quant à lui, même s’il a continué à grandir « physiquement », il n’a pas su dépasser son trauma, et est resté bloqué à l’année de ses dix-sept ans. Il faudra beaucoup de douceur et d’amour pour que ces deux-là surmontent les épreuves… Dis comme cela, cela n’a rien de très novateur. Et pourtant, il se passe quelque chose avec ce drama. Une galerie de portraits délicieuse, des personnages touchants, de l’amitié et de la bienveillance à tout bout de champ. Que ça fait du bien ! J’ai adoré.

The smile has left your eyes

On quitte le monde merveilleux des bisounours pour un drame bien noir. Entre nous, je connaissais l’histoire, pour avoir vu le drama japonais dont cette série est une libre adaptation. Toute la question était de savoir si les Coréens allaient oser suivre l’histoire originelle ou pas. Je ne dis rien ici pour ne pas gâcher le suspense ^^ . Mais connaissant le flair de Seo In-Guk pour dénicher de supers scenarii, j’étais sûre que ça allait me faire vibrer autant que la première fois. Et clairement, ce drama est pour moi une réussite, de bout en bout (eh bien oui, moi, j’aime la fin). Parce que tous les éléments s’emboîtent les uns après les autres avec beaucoup d’intelligence et que l’on évolue tout doucement vers le drame. Parce que la question de la rédemption reste un vivier inépuisable d’histoires bouleversantes. Et parce que les acteurs sont formidables. Vraiment formidables.

100 days my Prince

D.O. Deux petites lettres qui m’ont toujours fait de l’effet. Parce que c’est le seul chanteur de Kpop que je sois capable de reconnaître ^^. Mais ce n’est pas grâce à un tube musical que je le connais, c’est grâce à son talent d’acteur. Je l’ai découvert comme beaucoup dans l’excellent It’s OK, it’s love, et c’était difficile de ne pas être impressionnée par sa prestation. Depuis, je le surveille de loin. Sa partenaire à l’écran, c’est l’adorable Nam Ji-Hyeon, qui a joué dans Shopping King Louie et My suspicious partner. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu de Sageuk, et j’aimais bien l’idée que ce soit une vraie fiction et non une série historique basée sur des faits réels. D.O. joue le rôle d’un prince qui tente de survivre dans un environnement hostile : son père a comploté avec le Premier ministre pour assassiner le roi et prendre sa place, et on l’a obligé à épouser la fille de l’infâme ministre en question. Il perd la mémoire au cours d’un guet-apens destiné à le faire mourir, et se retrouve simple manant dans un petit village voisin. Un quiproquo l’oblige là encore à se marier, cette fois-ci à une forte tête, qui s’avère être la fille du roi assassiné, qui vit sous une fausse identité. Je ne sais pas si je suis claire. Bref, c’est à la fois sérieux et très comique, le personnage du prince m’a vraiment fait rire, et c’était esthétiquement une réussite. Les deux acteurs principaux s’entendaient visiblement très bien, mais je dois dire avec regret que je n’ai jamais ressenti la moindre once de romantisme entre les deux, donc je suis restée un peu sur ma faim de côté-là. À regarder toutefois, ne serait-ce que pour voir un D.O. frustré, lancer d’une voie hautaine : « N’y a-t-il que moi que ça gène ? ». Hilarant.

Terius behind me

Comme il vieillit bien, So Ji-Sub ! En plus d’être vraiment très beau, il a gagné en aisance et naturel. Pour la première fois, je n’ai pas eu l’impression de voir un acteur devant mon écran. La série en elle-même est plaisante à regarder, même si je ne pense pas en garder un souvenir impérissable. Moi, ce sont surtout les petits jumeaux qui m’ont fait craquer. Comment peut-on être un enfant acteur aussi mignon, et surtout aussi vrai devant la caméra ? Il faut sûrement derrière un réalisateur hors pair, profondément humain. Je n’ai pas arrêté de me poser la question tout en regardant ce drama, au point peut-être de me détourner un peu de l’histoire. Mais ce qui m’a plu, profondément, c’est d’avoir pu ressentir toute l’amitié qui existe entre ces divers personnages. Des relations ordinaires dans un monde extraordinaire, et surtout légères, où l’on n’a pas besoin d’être un autre que soi pour qu’elles s’épanouissent. Pas si simple au fond…

Un outsider : Just between lovers

Je ne sais même pas comment j’ai eu l’idée de regarder ce « vieux » drama de la fin 2017, mais grand bien m’en a pris ! Je n’ai d’ailleurs tout simplement pas compris comment j’avais pu passer à côté… Alors si vous aussi, vous ne l’avez pas encore visionné, je le recommande chaudement. C’est la très belle histoire de deux jeunes survivants de l’effondrement d’un centre commercial, qui se retrouvent plusieurs années après le drame. Non seulement ils ont vécu l’accident, mais ils ont aussi perdu certains de leur proches. Peut-on sortir indemnes d’une telle épreuve ? Comment grandit-on dans ces conditions ? Nos deux héros ont « évolué » différemment : elle a perdu la mémoire, mais son inconscient n’a pas réussi à enfouir son sentiment de culpabilité. Sa famille s’est brisée, son monde s’est écroulé, et elle avance dans les non-dits et la peine. Lui, il a conservé sa rage de vivre, mais il ne peut s’empêcher de s’auto-détruire, en proie à des délires post-traumatiques. Une destinée commune, un amour comme une évidence. Ces deux-là pourront-ils dépasser cet épisode tragique de leur vie ? C’est si prenant, si vrai, que j’ai regardé la série en quelques jours seulement. Je viens seulement de la finir, mais il y a de fortes chances pour que j’y pense encore très, très longtemps.

Deux autres dramas coréens agréables à regarder

Let’s eat 3

C’est le premier de la franchise Let’s eat que je regarde. Je me suis un peu renseignée en lisant les premières critiques (certains n’avaient pas aimé le sort réservé à l’héroïne du deuxième opus), mais comme je n’avais pas vu la saison précédente, cela ne m’a pas du tout gêné. Les histoires se suivent, mais il n’est pas nécessaire d’avoir vu les premières pour voir les suivantes. Bref, comme je le disais, l’arrivée d’une nouvelle héroïne, amie d’enfance du personnage principal masculin, est allée de soi en ce qui me concerne. Évidemment, j’apprécie la nourriture coréenne, et j’étais très curieuse de découvrir tous ces plats. Je me suis rendu compte à quel point je n’y connaissais rien. Cela m’a donné envie de repartir en Corée du Sud et de faire cette fois-ci un voyage « spéciale gastronomie », c’est pour dire ! Mais j’ai été surprise de voir le temps passé à expliquer tous les plats, à les déguster, etc. C’était un peu ennuyant, et j’avoue, j’ai souvent passé ces moments en marche rapide.

My ID is Gangnam Beauty

Avec le recul, je n’ai pas grand-chose à dire sur ce drama. Les bluettes post-adolescentes, ce n’est pas trop ma tasse de thé. Je peux en regarder sans problème, si elles sont bien réalisées, ce qui était le cas ici. Oui, la série est agréable à regarder, et sa bande-son réussie. Mais elle manque un peu de profondeur. Le personnage féminin est trop lisse. Il aurait gagné à être plus fouillé. Elle a changé totalement de visage, or elle semble s’en accommoder sans l’ombre d’un questionnement. Alors qu’il est évident que cela ne peut pas être aussi facile, que l’on a forcément des moments de doutes sur ce qu’on a été, et sur ce qu’on est désormais. Il aurait sûrement été plus intéressant aussi de creuser la relation des deux héros quand ils étaient ensemble au lycée, on aurait mieux compris son attachement à lui. Plus que la tentative de dédramatiser la question de la chirurgie esthétique en Corée du Sud, il m’a semblé que celle-ci n’était qu’un prétexte pour raconter une toute autre histoire : la difficulté des relations interpersonnelles à l’entrée dans la vie adulte.

Mes flop dramas

De tous les dramas qui suivent, il n’y en a pas un seul que j’ai terminé. J’ai abandonné en cours de route, sans beaucoup de regret… Cela ne veut pas dire que je les considère comme mauvais, juste décevants, selon mes critères.

The beauty inside

Je n’ai pas aimé le film dont est tiré cette adaptation. Tout le monde ayant l’air d’avoir adoré, je me suis dit qu’il fallait que je regarde la série, car j’avais sûrement raté une belle histoire. J’adore l’actrice principale, Seo Hyeon-Jin, et je ne déteste pas Lee Min-Ki. Je n’ai rien à redire sur elle, son naturel et sa beauté me bluffent toujours autant. Lui… j’ai eu le sentiment de voir le clone de son personnage dans Because this is my first life. Il a clairement du charme, mais il ne se renouvelle pas beaucoup en tant qu’acteur, c’est dommage. L’histoire est sympathique : elle, c’est une star du grand écran, qui se transforme une semaine par mois en quelqu’un d’autre (cela peut être une grand-mère, un enfant, un homme…). Lui, il gère une compagnie aérienne, mais il souffre de prosopagnosie, c’est-à-dire qu’il est incapable de reconnaître les visages. Leur vie est donc bien compliquée. Et pourtant, ils vont se rencontrer et s’aimer. Bien. C’est leur histoire. Car en ce qui me concerne, je n’ai jamais réussi à m’y intéresser vraiment. Je suis partie en vacances, et j’ai oublié de regarder la fin, tout simplement. Encore aujourd’hui, cela ne manque pas plus que ça.

Where stars land (aka Fox bride star)

Petite déception, surtout quand on a la chance de voir Lee Je-Hun délaisser le grand écran pour le petit. J’ai regardé la moitié des épisodes, et je trouvais cela plaisant. Ça se passe dans un aéroport : à elle, il lui arrive toujours une tuile. Lui cache un secret, à la Clark Kent. Suite à un accident, il a perdu l’usage d’un bras et d’une jambe. Il refuse de vivre sans son armure bionique, bien que celle-ci l’empoisonne tout doucement. Parce que vous comprenez, il l’aime. Il ne veut pas qu’elle sache. Euh… Parfois je m’interroge sur le niveau de maturité des scénaristes… Bien avant de partir de vacances, je commençais déjà à sentir le vent tourner. J’ai donc été très heureuse de devoir arrêter. J’ai entendu dire que la fin était inconsistante, mais je crois que je préfère ne pas savoir.

Devilish joy (aka Devilish charm)

J’aurais dû écouter mon instinct. Car je n’aime pas trop les dramas dans lesquels joue Choe Jin-Hyeok. Je ne sais pas pourquoi. Je l’aime bien en tant qu’acteur, mais je suis toujours un peu déçue au final. Pourtant sur le principe, l’idée était charmante : un couple se rencontre à Ibiza, c’est le coup de foudre. Puis le drame arrive : le héros a un accident et souffre dès lors d’une forme d’amnésie particulière. Les informations disparaissent au fur et à mesure que le temps passe. Il est donc obligé de noter toute sa vie dans des carnets. Il a oublié sa dulcinée, qui elle, est passée de statut de star confirmée à femme la plus détestée de Corée du Sud. Mais en amour, rien ne s’oublie voyons ! Bref, je trouvais ça mignon, mais il a fallu que le scénario pousse un peu trop loin la charge dramatique, en faisant de cette amnésie un mal incurable, voire mortel… Quel manque d’originalité, quel ennui… J’ai abandonné devant ce scénario trop peu ambitieux.

Fluttering warning

C’est exactement pareil que pour Devilish Joy, sauf que cette fois-ci, c’est l’actrice, Yun Eun-Hye, dont je n’aime pas les dramas. Je suis comme beaucoup, toujours attachée à elle à cause de Coffee Prince, mais soyons honnêtes, elle n’a pas su choisir un seul bon scénario depuis. Même Lie to me ne cassait pas trois pattes à un canard… Alors je crois bien qu’on ne m’y reprendra plus désormais. L’histoire est plate, le makjang risible et franchement, ces deux-là, on n’y croit pas, mais alors pas du tout. Comme ils sont mal assortis ! J’ai tenté à plusieurs reprises de reprendre le visionnage en cours de route, mais j’ai préféré abandonner définitivement, pour ne pas que l’actrice sombre définitivement dans mon cœur. Je lui dois bien ça.

Un épisode, ça suffit parfois amplement


Lovely horribly, Mama Fairy and the woodcutter, Your Honor, The undateables : quatre séries dont je n’ai regardé que le premier épisode avant de décider que je ne continuais pas. Les trois premières semblent avoir du potentiel, mais il faudrait vraiment que j’aie beaucoup de temps devant moi pour leur laisser une chance (ou qu’un lecteur bien attentionné m’annonce que je rate l’affaire du siècle ^^). Quant à la dernière… C’est moi, ou c’était complètement ridicule ?

Mes dramas en cours : premières impressions

Les dramas de cet hiver me semblent clairement bien plus prometteurs et pour le moment, je me régale avec trois dramas : Clean with passion for nowEncounter (aka Boyfriend), et Memories of the Alhambra. Dans le premier, on assiste à la rencontre percutante entre une jeune femme au style « relâché », et un jeune homme mysophobe, qui souffre d’un trouble obsessionnel-compulsif en rapport avec la saleté et les microbes. Côté scénario, si le « couple que tout oppose » a été vu maintes et maintes fois, on peut dire que les Coréens s’amusent à nous dénicher les phobies les plus improbables. Celle-ci est parfaitement adaptée à une comédie romantique qui ne se veut en rien sérieuse. Donc je m’amuse comme une folle, et je ris souvent à gorge déployée.

Encounter, c’est un autre acabit. Park Bo-Gum, c’est ma petite douceur à moi. En général. Là, pendant les trois ou quatre premiers épisodes, j’avais en horreur son sourire niais, que je trouvais forcé et peu naturel. Mais cette histoire d’amour entre un jeune homme de condition modeste et une riche femme divorcée a quelque chose d’entêtant. Parce qu’elle n’est pas exagérée. À aucun moment, je n’ai le sentiment que cette histoire ne pourrait pas arriver dans la vraie vie. Je peux tout à fait m’identifier aux personnages, ils sonnent justes. J’aime comment leur complicité leur permet calmement de s’opposer à leurs familles, à la société, comment leur amour grandit sereinement. C’est une histoire d’émancipation, de libération. J’ai hâte de voir la suite.

Memories of the Alhambra signe le grand retour de Hyeon Bin au petit écran. Je suis impressionnée par son jeu si subtil. Il porte tout le drama sur ses épaules, il est terriblement convaincant, surtout lorsqu’il est en proie à une infinie terreur. Il sait rendre son personnage cynique, sans pour autant le déshumaniser. Je suis impatiente de le voir tomber amoureux. C’est difficile d’expliquer en quoi cette série est une réussite (pour le moment), d’autant qu’elle est innovante (et ce n’est pas que dans la question du jeu virtuel). Comme c’est différent de ce que l’on voit d’habitude, si jamais vous hésitez, je vous invite à regarder les trois ou quatre premiers épisodes avant de vous faire votre opinion. La mienne a beaucoup évolué, et je ne m’y attendais pas du tout. Aujourd’hui, je suis accro.

Voilà pour ce dernier bilan de l’année. Merci de m’avoir lue jusqu’au bout.

Et vous, qu’avez-vous regardé ? Partagez vos avis dans les commentaires, je suis curieuse de connaître vos goûts en matière de drama ^^.

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8 commentaires

    • Avec plaisir, Mitsu ! Je viens juste de le terminer. Je serai honnête, il n’a pas tenu toutes ses promesses (un peu comme W). Mais l’auteure a une belle imagination et je lui reconnais au moins ce mérite ^^ Bon visionnage, j’irai voir sur ton blog s’il t’a plu. A bientôt !

  1. Hello, j’ai prévenu de me lancer dans Clean with passion for now prochainement mais j’hesite pour Encounter! As terminé ce drama?

    • Oui, je l’ai terminé ! Je n’en pense que du bien. Ce n’est pas une histoire où il se passe beaucoup de choses, et il faut vraiment aimer le genre romantique (vraiment beaucoup !), mais j’ai réussi à m’identifier aux personnages et c’était solide de bout en bout. Ce n’est pas une comédie comme « Clean with passion for now », c’est plutôt introspectif, avec un rythme assez lent. Mais bon, je suis plutôt bon public, et avec un bon scénario, de beaux paysages, et des personnages bien écrits, il était normal que cela me plaise ^^.

      • Ah parfait, je me le rajoute à ma looooongue liste 😉 Je regarde des dramas depuis un mois! Je suis totalement boulimique…ce qui fait que mes nuits sont très courtes. Je regarde essentiellement des anciens actuellement mais sans oublier de prendre des infos sur les nouveaux. Actuellement je regarde Gobelin. Un drama assez lent mais avec des images très belles! 🙂

        • Je comprends ta boulimie, je suis accro moi aussi. Pas toujours ravie de cette addiction, cela dit… Si j’avais un seul conseil pour ne pas te laisser trop envahir : n’hésite pas à abandonner un drama en cours de route, s’il ne te plaît pas assez. Il y en aura tant d’autres bien meilleurs, qui te correspondront mieux et qui t’apporteront vraiment quelque chose. Quitte à remplir sa vie avec des dramas, autant qu’elle soit BIEN remplie ^^ !

  2. Merci pour ces conseils! 😉 Et je suis d’accord avec toi, ma soudaine addiction me fait parfois flipper!!!
    Ravie d’etre tombée sur ton blog qui me permet d’en savoir plus sur la Corée 🙂

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